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Note générale
GamesUP.ch |
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7/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Xbox one |
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| Sur Ordinateur - Xbox one |
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COMMENTAIRES |
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| Ce n’est pas mal pour du 720p, les effets de catastrophes temporelles sont convaincants, la direction artistique offrant par moments de pur moment jubilatoire. Les niveaux traversés sont détaillés mais laissent une impression de froideur. Mais comme tout semble figé... Le jeu déclenche aussi des maux de têtes, les superpositions de matières fatiguent la vision. Les combats sont spectaculaires à défaut d’être réellement révolutionnaires, les années de développement semblent s’être dispersé dans un trou noir. La modélisation des personnages permet une transition assez agréable entre la narration filmée par des acteurs et les scènes de jeux. |
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| Vraiment pas de quoi affoler les âmes sensibles, le jeu se veut clairement accessible à une large public malgré les morts et les actes de violences. |
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| Un héros paresseux voire par moment invalide de ne pouvoir franchir un obstacle qui parrait si insignifiant aux vue de ses immenses pouvoirs. Les niveaux sont bridés mais étrangement cela n’empêche nullement l’avancée vers la solution qui sauvera l’humanité d’une catastrophe programmée. Le système de couverture est lui aussi largement en déça des capacités de notre héros. Les pouvoirs sont eux assez jubilatoires, s’enchainant avec facilité face à des ennemis pas très performants, qui se contentent de suivre leurs soldats blindés pensant pouvoir se planquer assez longuement pour que celui-ci vous détruise. Leur puissance de feu vous freinera à défaut de réellement vous bloquer dans un niveau. Il suffit alors d’attaquer, d’attendre et de recommencer à balancer vos défenses en tournoyant autour de vos ennemis, stratégie qui fonctionne bien trop facilement. La difficulté semble s’être elle aussi perdue dans l’espace temps. |
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| La narration est bonne, les doublages de qualité quand aux musiques elles ne laissent pas vraiment un souvenir impérissables. |
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| Vite fini pour peu que l’on décide inévitablement de zapper les documents qui s’accumulent dans les méandres du temps. Par contre certaines vidéos sont intéressantes voire suprenantes par leur clins d’oeils à une série diablement connue des années 90. Scully se serait-elle perdue elle aussi ? Le 100 pour cent est atteint en à peine 8 heures en mode normal, deux de plus pour le mode difficile qui ne l’est pas vraiment. |
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| Machine à remonter dans le temps, bozons et théorie du chaos semblent se télescoper dans une grande explosion narrative qui devient par moments barbantes, voire saoûlantes. La trame de base est relativement simple voire même convenue puisqu’il est question de faille dans le temps, de fin du monde et d’expérience qui tourne mal mais la tonne de document, mails et autres théories qui se superposent alourdissent le scénario, voire la progression qui se veut constamment couper par des ordinateurs qui semblent trainer même dans des endroits peu probables. On a l’impression que l’on tente désespérément de comprendre les fondements des théories quantiques au point de transformer le cours de physique en long chemin de croix car le final ne laisse planer aucun doute. |
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| Que dire du plus grand succès actuellement sur Xbox One, le jeu battant des records de vente pour une console qui peine à faire briller ses exclusivités véritables, la belle Lara n’en est pas vraiment une, et Forza lui reste intouchable dans sa catégorie. L’esprit critique trouvera que le jeu manque de l’athmosphère pesante que devrait logiquement distiller un jeu avec une telle trame. La faute à un héros dénué de charisme, des scènes de fusillades vite monotones, pas vraiment d’impact sur les choix proposés qui ne modifieront que le téléfilm de qualité qui accompagne le jeu, petite nouveauté qui devrait en inspirer d’autres... Quantum Break n’est pas un mauvais jeu, il est juste bien en dessous de nos attentes les plus folles. La fin du monde peut attendre. |
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