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The Legend of Spyro : A New Beginning
  PHOTOS
 
 
  Note générale
GamesUP.ch
6.5/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
 
Sur Nintendo DS - GameCube - GameBoy Advance - PlayStation 2 - X-Box

Les

+

> Les effets spéciaux bien faits.
> Système de combat.
> Les combos aériens au ralentis.
> Evolution des souffles.
> Elijah Wood (voix de Spyro).
> David Spade (voix de Sparx).
 

Les

> Les effets spéciaux trop nombreux.
> Les gemmes trop nombreuses.
> Monstres peu charismatiques.
> Trop de combats.
> Pas assez de plateforme.
> Des Boss démesurément difficiles.
> Seulement six niveaux au total.

Il était une fois, dans la contrée de Playstation 1, un petit dragon violet nommé Spyro. Fraîchement arrivé dans un univers en 3D il y a de ça huit ans, il se fit remarqué par son style de jeu de plateforme assez révolutionnaire pour l’époque. Il n’oublia pas de prendre avec lui des mondes emprunts de naïveté et d’innocence.
Sachez que ce volet déroge à la règle et perturbera les fans de la première heure. Spyro est maintenant un jeu où il est bon savoir se battre et où les décors sont plus sombres. Sorte de révolution qui s’est déjà trop fait attendre et qui arrive du coup un peu trop tard.

Un messie est né.

Cet épisode commence alors que Spyro n’est encore qu’un œuf. Un jour, dans la contrée des Dragon, le maléfique Cynder donne l’offensive final afin d’exterminer le dragon messie de la future génération à venir. Il est sauvé in extremis est laissé à l’abandon dans une rivière, sera recueilli par une famille de libellule et vivra ses premiers jours de manière très paisible. Normal vu qu’il se croît être une libellule (si, si, je vous le jure !).
Mais peu de temps après, es parents adoptifs lui avouent la vérité. C’est à ce moment là que Spyro se rends compte qu’il est un dragon. Un dragon qui a sans doute une destinée et une contrée qui lui est propre. C’est alors qu’il part pour l’aventure, accompagnée de Sparx, son ami de toujours.

Une fois cette courte épopée façon plateforme achevée, Spyro se retrouve né à né avec l’un des gardiens du monde des dragon. Le gardien du feu. Celui-lui montrera ce qu’est devenu le monde des Dragons, c'est-à-dire une contrée dévastée par les forces démoniaques de Cynder. Et devinez quoi ? Seul Spyro pourra en venir à bout vu qu’il est le Dragon violet attendu comme un sauveur. Vous apprendrez alors les bases de combats. Attaques, combos, souffles. Et partirez à la recherche des trois autres gardiens éparpillés dans le monde à la recherche de nouvelles techniques et de soif de vengeance.

Trop, Trop peu.

Visuellement différent des premiers volets, cet opus s’est vu imprégné d’une ambiance moins innocente et un tantinet plus sombre. Certains aimeront d’autre pas. Et sachez également que notre cher petit dragon violet s’est vu « relooké » pour ne pas dire « déformer ». Les phases de combats, souvent trop présentes et interminables, sont agrémentées d’effets visuels mirobolants. On se retrouvera alors souvent à frapper à l’aveugle. Ce qui est un peu dommage vu que les mouvements de combats sont assez originaux. En effet, Spyro dispose d’un système de combos aérien sous forme d’animations au ralenti. L’effet est quasi garanti et vous permet donc de combiner attaques, souffles et projections de manière simple et efficace. Sans oublier la possibilité de lancer des « bombes » propre à chaque souffle, ainsi qu’à une furie qui fera disparaître tous les méchants vilains aux alentours. Mais je le répète, ces phases de combats sont beaucoup trop nombreuses pour rester appréciables jusqu’au bout. On est très vite blasé de ces perpétuels affrontements contres des hordes d’ennemis peu charismatiques. Et tout ça au détriment du jeu de plateforme connu de beaucoup de monde !
Si les combats contres les monstres ordinaires sont encore assez simple, il n’en est pas de même avec les boss. On pourrait alors opter pour la devise «  plus c’est gros, plus c’est robuste ». Très éreintant et coriaces. Ils vous donneront du fil à retordre pour arriver à les vaincre. Difficulté alors démesurée qui découragera les joueurs les moins hardis.
Vient s’ajouter à cela deux petites missions sous forme de vol où vous devrez envoyer des boules de feu sur vos ennemis tout en esquivant leurs attaques. Pas de quoi casser des briques.
Ce qui est assez dommage dans le fond. Vu que les combats sont bien pensés et que le souffle de Spyro peut se décliner sous plusieurs formes (feu, électricité, glace, terre) que vous pourrez améliorer comme bon vous semble grâce au gemmes récoltés tout au long de votre histoire.
Certains seront plus efficaces que d’autres selon le type d’ennemis, et le changement d’un souffle à l’autre peut se faire en tout temps grâce à la croix multidirectionnelle.
Mais revenons à ces gemmes. Très nombreuse dans tout le jeu car il vous suffira de battre un ennemi ou encore de briser des cristaux un peu éparpillés aux quatre coins des niveau, elle vous permettront de recharger votre jauge d’énergie vitale, de souffle ou encore d’améliorer la qualité de vos souffles. On oublie alors complètement le défi des premiers volets qui consistait à dénicher ces joyaux rares à l’époque qui vous permettaient de survivre. Changement qui s’est déjà opéré dans le volet précédent : Spyro : A Hero’s Tales. Cette idée de durée de vie périssable se confirme quand on voit le nombre minuscule de niveau (six au total) à parcourir. A croire que le nombre de pauses syndicales des développeurs a été doublé.

Conclusion

Spyro joue alors la carte de la démesure : trop de combats pour pas assez de plateformes, trop de joyaux pour pas assez de défi. Trop d’effets spéciaux pour pas assez de clarté. Dommage vu que sans ce contre poids, Spyro : A new Beginning aurait pu redonner un coup de jeune à une série en perte de vitesse.
Et ce n'est pas les voix officielles d'Elijah Wood (voix de Spyro) et de David Spade (voix de Sparx) pour la version Originale ou encore de leur vrai doublures en Version Françaises qui redoreront à elles seules le tableau déjà terni de la série.

par x-trend

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> Graphisme 0/10    
 
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> Violence 0/10    
 
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> Jouabilité 7/10    
 
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> Bande-son 7/10    
 
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> Durée de vie 5/10    
 
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> Scénario 6/10    
 
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> Note finale 6.5/10    
 
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: Action / Aventure
Age: dès 7 ans
Nombre de joueurs: 1
Online: Non
Editeur: Vivendi Universal Games
Site officiel: http://www.vugames.com/
Développeur: Sierra
> PAROLE DU RÉDACTEUR