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Phantasy Star Universe
  PHOTOS
 
 
  Note générale
GamesUP.ch
3.5/10
  Note générale
lecteurs
Non noté
  Testé sur
 
 
Sur PlayStation 2 - Xbox 360

Les

+

> Hack'n Slash
> Mode online
> Mode 60Hz
> Maniabilité correcte
 

Les

> Héros super original
> Techniquement dépassé
> Répétitif
> Ennuyeux et passif
> Très laid sur un écran plat
> Pas de création d'avatar en mode solo.
> Pas de pause en mode solo !!!
> Les sauvegardes sont trop mal placées

Sega et la Sonic Team tentent de nous refaire le coup de la Dreamcast en 2000, en nous proposant de redécouvrir Phantasy Star dans une énième version dédiée au jeu en ligne. Cette fois-ci, le jeu est accompagné d’un mode aventure solo guidé par un scénario sans grosses surprises, qui cache à peine le hack’n slash qui sert de font principal à ce pseudo RPG.

Une trame épaisse comme Kate Moss

L’histoire nous entraîne dans un univers spatial, dans la continuité de la série. Vous incarnez un jeune homme (Ethan Waber) habillé de vert fluo et qui possède un caractère de « badboy» bien trempé. Il utilise une sorte de skateboard volant pour ce déplacer à la Marty McFly (Ndr : merci les clichés). La colonie où se passe notre trame est peuplée de différentes ethnies qui se sont fait la guerre par le passé et qui vivent en harmonie parfaite. Lors de la cérémonie de la grande prêtresse qui voit l’avenir, la fête est interrompue par l’attaque foudroyante des SEED (Les méchants, sortes de monstres qui ne ressemblent à rien) qui démolissent une bonne partie de la station, tout en prenant possession des lieux. Séparer de sa petite sœur, par un éboulement, Ethan se voit obliger de faire équipe par la suite avec des voyous, avec qui il avait eu à faire auparavant au début du scénario. Notre jeune ados prétentieux est également aidé par un puissant Guardian (mi-homme/mi-félin) qui comme par hasard déclare forfait avant même de combattre une seule fois. Ce dernier donne des armes et une sorte de communicateur pour rester en contact avec lui. Retrouverez-vous votre petite sœur chérie ?

Intelligent comme le catch

Le système de jeu n’a pas évolué d’un micron depuis le premier titre sorti il y a six ans sur la bonne vieille Dreamcast. Vous avancez dans des niveaux ou votre seul objectif concret est de passer à tabac tous les monstres et ennemis qui traînent sur votre chemin. Bien entendu il augmentera son niveau d’expérience au passage. Galvanisé par l’acquisition d’équipements et d’armes glanées en cours de partie dans les différents endroits de l’aventure, votre bonhomme obtiendra très vite des compétences lui permettant d’évoluer sur un autre type de métier comme la magie par exemple. Ethan a pour commencer sa quête la possibilité d’utiliser un sabre laser à la Starwars et une sorte de pistolet à plasma. Vos coéquipiers contrôlés par la console se contente de vous assistez très primairement en tirant et en frappant sur tout ce qui bouge. Les différents mondes se terminent par un boss gigantesque à anéantir avec un minimum de casse. Heureusement que de nombreux équipements sont disponibles dans les différentes boutiques de la station, qui sert de lien entre les niveaux.

Laid comme un poux

Autant vous en informez de suite la technicité des développeurs laissent sérieusement à désirez dans la conception du jeu. Les graphismes sont d’une laideur à faire regretter sa Dreamcast ! Les décors, les différents protagonistes et les environnements souffrent d’une pauvreté technique affligeante à rendre les dessins d’un enfant de 5 ans plus riches en détails. Les polygones sont tristes et doivent s’ennuyer ferme de tourner sur une PS2. Encore moins réussi que les premiers titres disponibles de la machine à son lancement. L’aliasing pullule sur le moindre contour disponible à l’affichage sur l’écran et les textures sont fades et vides, à peines colorées, à croire que le soft avait été prévu pour tourner sur GameBoy Color.  Mais le pire reste à venir, lors de vos incursions dans le hall central de la station, les PNJ s’effacent comme par magie à leur approche. Heureusement que la maniabilité reste correct et que la bande-son sauve partiellement le titre du désastre. L’action est répétitive et vite ennuyeuse, soutenu par une action passive et endormante. PSU n’intéressera que les fans de hack’n slash online de le la première heure et encore, vu la médiocrité de cet épisode sur PlayStation 2. Gageons que la version XBOX 360 trouve un chemin plus glorieux lors de sa sortie.  Sega continu de plonger !

par Evil

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> Graphisme 0/10    
 
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> Violence 0/10    
 
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> Jouabilité 6/10    
 
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> Bande-son 5/10    
 
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> Durée de vie 8/10    
 
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> Scénario 3/10    
 
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> Note finale 3.5/10    
 
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> INFOS SUPPLÉMENTAIRES
Version:
Genre: Action / RPG
Age: dès 12 ans
Nombre de joueurs: 1
Online: Oui
Editeur: Sega Europe
Site officiel: http://phantasystaruniverse.com/
Développeur: Sonic Team
> PAROLE DU RÉDACTEUR