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Note générale
GamesUP.ch |
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8/10 |
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Note générale
lecteurs |
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Non noté |
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Testé sur |
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Nintendo 3DS |
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| Sur Nintendo 3DS |
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COMMENTAIRES |
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| Dragon Quest VII est vraiment des plus agréables à l’œil et ce même si ce remake est sortit il y a déjà plus de trois années au japon. Le design signé Akira Toryiama fait toujours autant son effet et donne un cachet bien particulier à cet univers. Le rendu des œuvres que cet auteur touche est toujours très coloré et c'est bien l'une des caractéristiques que l'on apprécie sur son travail touchant à Dragon Quest en général. Au niveau du bilan purement technique, le titre est la plupart du temps très fluide et ce même si quelques ralentissements étranges sont à dénoter. En effet, de temps à autres, le titre se met à subir des ralentissements pendant quelques brèves secondes sans raison apparente, mais cela n'a rien de vraiment rédhibitoire, car cela n'arrive que rarement. Si l'on compare le jeu d'origine et ce remake, l'écart technique est vraiment grand et là ou le jeu original était en retard techniquement par rapport à ce qu'il se faisait à l'époque, cette nouvelle itération reste dans la catégorie de ce qu'il y a des très agréable à regarder sur 3DS. Pour les principales différences avec le jeu de base, sachez que les sprites 2D sont maintenant des modèles 3D, que la carte du monde en 2D a été remplacée par un monde entier en 3D, que tous les monstres ont été modélisés en 3D et ainsi de suite. En bref, au niveau de l’esthétique, le jeu a bien été revu de fond en comble pour le plus grand bonheur des fans. |
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| Dragon Quest n'est pas un titre véritablement violent. On traîne grosso modo dans un monde fantastique ou le sang ne coule pas, mais sous ses aspects mignons, la licence sait toujours aborder des thèmes très sérieux et adulte. |
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| Dragon Quest VII reste fidèle à lui même, on retrouve donc sans surprise le jeu rugueux, mais généreux qu'il a toujours été depuis sa création. Bien entendu, l'édition 2016 que nous avons entre les mains se permet le luxe de faire quelques petits remaniements, afin de le rendre un poil plus digeste qu'à l'époque de la Playstation, mais il ne faut pas s'attendre à une nouvelle vision du titre d'origine. Pour les plus curieux, sachez pour votre gouverne que le rythme est toujours aussi posé, que l'histoire progresse encore via un grand nombre de petites sous histoires intéressantes dont on voit le bout assez rapidement et que l'on reste dans un système de combat au tour par tour classique. Le format assez inédit de progression trouve vraiment tout son sens sur console portable et il est vraiment agréable d'avoir un jeu aussi long dans sa poche sur lequel on peut la plupart du temps progresser via des petites sessions de jeu grâce au système de sauvegarde rapide. Bien souvent lorsque l'on allume la console on se retrouve sur le chemin d'une nouvelle petite quête et cela donne vraiment envie de revenir bien souvent squatter sa machine. Au niveau des gros changements qui sont tout de suite visible, on note la disparition des combats aléatoires. Les joutes se déclenchent maintenant à la manière de Dragon Quest IX ou il faut rentrer en contact avec les monstres que l'on voit pendant les phases d'exploration. La disparition des combats aléatoires est plus dans l'air du temps et permet au joueur de choisir à sa guise quand combattre, même si dans certains endroits il est un peu difficile d'éviter certains ennemis. Grâce à ce changement, le jeu est plus agréable à traverser, car on est pas sans cesse interrompu lorsque l'on souhaite explorer un endroit en toute tranquillité. Bien entendu esquiver tous les combats dans un Dragon Quest est une mauvaise solution et il faut faire attention, car la difficulté n'hésite pas à rappeler à l'ordre le joueur négligeant en lui imposant des Boss coriaces. Le système de vocations est une nouvelle fois de mise et on note quelques différences sur ce dernier. La vitesse de progression des vocations est plus rapide et les règles ont été plus ou moins ajustées, afin d'équilibrer un peu plus le jeu. Il n'est donc plus possible de garder toutes les compétences débloquées d'une classe à l'autre et cela nous force à faire quelques choix assez compliqués pour maintenir une équipe efficace en combat. Par contre il est toujours aussi fou d'avoir à attendre une vingtaine d'heures pour voir ce système addictif se mettre en place, mais il faut avouer que cela redonne un tout nouveau souffle au système de jeu au moment ou l'on ne s'y attend plus. Dans les dernières fonctionnalités importantes qu'apporte cette nouvelle mouture de Dragon Quest VII, on peut citer le radar permettant de retrouver bien plus facilement les importantes tablettes qui étaient un petit calvaire à trouver par le passé et une nouvelle fonction rappelant les précédents événements, ce qui est plus que pratique. Bien d'autres nouvelles choses sont au programme comme des nouveaux donjons que Square-Enix envoie via Spotpass, des échanges de tablette via Streetpass, des nouvelles pièces d'équipements, mais nous vous laissons le soin de découvrir cela par vous même. |
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| Que dire sur les compositions de Monsieur Kōichi Sugiyama, si ce n'est que l'on est en face d'un bon nombre de thèmes plus emblématiques les uns que les autres ? Pas grand chose, si ce n'est que nous en voulons toujours plus, car à l'époque le Monsieur était plus en forme que jamais. On regrette vraiment que la version orchestrale de l'OST soit passée à la trappe sur la version européenne et que l'on se retrouve avec une simple version midi. Si c'est pour une question de place sur la cartouche, pourquoi ne pas proposer en téléchargement annexe la version symphonique de l'ost en add-on ? Quoi qu'il en soit la musique reste bonne en format midi, mais elle fait grise mine si on a la bonne idée de la mettre côte à côte avec la version japonaise du même jeu. Les bruitages quant à eux sont déjà connus de tous et je pense que l'on a pas besoin de dire qu'ils sont reconnaissables entre mille, car vous le savez certainement déjà. |
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| Dragon Quest VII est l'un des jeux possédant la quête principale la plus longue de tous les temps. Pour finir la bête à cent pour-cent, force est de constater qu'il faut vraiment y jouer comme un forcené. Si vous pensez faire le tour de cet univers en une cinquantaine d'heures de jeu, on vous conseille d'oublier cet objectif totalement fou et l'on vous conseille plutôt de parier sur une bonne centaine d'heures au bas mot. Nous avons donc une durée de vie énorme pour un jeu portable qui plus est sur un jeu très prenant, dommage que sa construction à l'ancienne lui porte un peu préjudice et que certains aller-retour, même s'ils sont justifiés par l'histoire, pourront sembler un peu indigeste pour certains joueurs. Le titre échappe donc de justesse à la note ultime, mais vous en aurez pour votre argent c'est certain. |
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| L'histoire est très bien écrite et le jeu est comme avec tous les autres titres de la licence, capable de nous faire sourire ou pleurer avec des textes simples. Ces derniers touchent directement notre âme, tant ils sont bien écrits et ils ont le don de savoir jouer avec les émotions les plus universelles qui soient. Sachez que le jeu est intégralement traduit en français et que cela est un très grand point positif pour une aventure possédant autant de textes : Merci messieurs de chez Nintendo ! |
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| Dragon Quest VII : La Quête des vestiges du monde était déjà un grand Rpg à sa sortie et il l'est encore plus aujourd'hui grâce aux quelques petits remaniements qui ont été fait ici et là. Le grand lifting graphique opéré sur 3DS, lui permet d'être désormais aussi agréable à regarder qu'à jouer et c'était sans doute son gros point faible à sa sortie, car il faut avouer qu'il ne pouvais vraiment pas tenir la distance face à un certain Final Fantasy IX, qui était beau comme un camion. La seule chose que l'on regrette en fin de compte, c'est d'avoir attendu plus de trois ans pour le voir débarquer, quelques ralentissements et que l'on perde au change la version symphonique de la bande son, mais sinon pour le reste c'est du tout bon quand on sait apprécier les Rpg japonais traditionnels. |
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